Week-end familial : jour 3

Ce matin RV 8 h 00 précises pour le petit déjeuner en tenue pour un départ à 8 h 30.

Tous les cyclistes sont là avant 8 h et s’affairent à préparer le matériel dans la fraîcheur matinale.

Après avoir avalé un copieux petit déj, le départ de cette nouvelle étape est donné. A peine 4 kms faits, le téléphone de Pascal sonne : « Où sont les clefs du camion ? », réponse : « Dans ma poche !» Heureusement Jean-Pierre vient les récupérer avec la voiture du club.

Les forçats de la route progressent sur le circuit du jour, sur une route sympa avec des faux plats montants et descendants, jusqu’au 40ème kilomètre (pied de la première difficulté), et tout de suite un arrêt car le GPS n’est pas d’accord sur la route que nous nous apprêtons à emprunter ; après étude du parcours il est décidé de passer outre le GPS. La montée sur St Germain de Claberte est courte et peu pentue, ensuite une petite descente nous permet d’accéder à la partie finale de la montée vers le col de Prentigarde, et surprise, à droite arrive la route du GPS !!!. 

Après 6 kms c’est le sommet et la voiture nous y attend ; tout le monde demande des bananes pour le ravito, mais elles sont restées à l’hôtel, dans la glacière !!! Pas du tout découragé, le groupe s’engage dans une suite de faux plats descendants et tournicotants sur  des petites routes peu fréquentées pendant 14 kms. Au terme de cette descente promenade, nous nous lançons dans la dernière grande difficulté de la journée : le col d’Uglas. Le col est très roulant, vite avalé par les Châtillonnais, puis c’est la descente à tombereau ouvert sur St Jean du Gard. A une intersection le groupe se scinde en deux : certains veulent rentrer par St Jean du Gard et d’autres veulent respecter le parcours initialement prévu…, les premiers arrivés étant prioritaires pour la douche ! (Nous n’avons plus qu’une douche pour les 8 cyclistes). A ce petit jeu les « pro-itinéraire initial » ont gagné, mais peut-être ont-ils roulé un peu vite ?!

Une fois toutes des douches prises, nous quittons l’hôtel pour nous rendre à une aire de pique nique à Anduze où c’est l’épilogue de la célébrissime sangria, et chacun peut se restaurer (pain, saucisson, jambon, chips, fromage, tomates et tarte : quel festin !).

Puis il faut bien rentrer…  Alors nous montons dans les véhicules et prenons la direction de Châtillon ; pour certains une grosse attente dans un énorme bouchon (pas lyonnais) d’Orange à Bollène, mais tout le monde est bien rentré dans la Dombes.

 

C’était le dernier épisode de la saison !

 

Nous remercions toute l’équipe organisatrice ainsi que les DS.